ACTIONS CRAPEF
Elles prennent pour l'essentiel les fronts suivants:
Sensibilisation sur la Santé de la Reproduction
Lutte contre les IST/VIH/SIDA
au côtés de l'OCDI
Supervision des Pairs Educateurs formés par l'OCDI
Prise en charge psycho-sociales des victimes des troubles socio-politiques initiée et financée par l'UNFPA.
le CRAPEF :ACTIONS
- Animation / sensibilisation pour l’éveil des consciences et l’émancipation de la femme
- Formations multiformes (alphabétisation fonctionnelle, gestion, formation des para juristes locaux, formation (éducation à la vie saine)
- Création d’un centre d’écoute
- Organisation des séminaires, colloques, conférences sur le droit des femmes / jeunes filles ; organisation des journées des femmes(Journée de la Femme Africaine;Journée Mondiale des Femmes)/Journée Mondiale pour la Prévention des abus envers les enfants.
- Assistance juridique et accompagnement psychosocial des cas de femmes / jeunes filles (désespérées / en difficulté)
LE PROJET PEFAM
Le CRAPEF est en train d'exécuter son projet dénommé : PEFAM (Programme d’Emancipation de la Fille Akébou et de sa Mère)
La problématique actuelle de la femme / jeune fille Akébou et l’émancipation / émergence laisse filer deux (02) déficits :
- Déficits en rapport avec l’animation / sensibilisation / conscientisation / éveil / information sur les droits et libertés des femmes.
- Déficit en rapport des actions de protection / émancipation / promotion de la jeune fille / femme à mener sur le terrain
Pour le CRAPEF, il faut aujourd’hui focaliser les efforts sur ces points de déficits majeurs par la désaliénation des mentalités, la diffusion des informations juridiques égalitaires à l’ensemble de la population, l’aide ou assistance juridique, la création d’un cadre sociale propice au développement communautaire partagé reposant sur l’émancipation affirmée de la jeune fille / femme Akébou de protection / émancipation /émergence de la Jeune Fille et de la Femme en vue de palier à la chosification / infantilisation / aliénation / réification / irresponsabilité de ces dernières ; et jeter par là même les bases d’un développement endogène, autocentré durable et d’un bonheur communautaire partagé. En agissant juridiquement sur le problème de l’aliénation/infantilisation/marchandisation de la jeune fille et de la Femme Akebou ,le CRAPEF compte par là meme jeter les bases d’ un Développement autocentré,endogène,communautaireet durable
Fondatrice du CRAPEF
C’est la Secrétaire Générale actuelle du CRAPEF. Son nom est : Mme AVOSSE Abra Clémentine(Profession ;Voir Site Staff).
Mission du CRAPEF
- Protection, émancipation, Promotion et émergence de la jeune fille / Femme/ Enfance.
- Lutte contre le VIH/ SIDA
- Appui accompagnement des coopératives agropastorales / commerciales de femmes et Formation/ Appropriation du Droit ,à l’auto- promotion et au développement communautaire.
-Santé reproductive
-Non-Violence Active et Paix pour les femmes.
Le projet PEFAM s’inscrit donc dans le programme général du CRAPEF.
PROJETS REUSSIS PAR LE CRAPEF
Le CRAPEF exécute le projet PEFAM mais mène aussi des activités d’émancipation éparses :
- Animation / sensibilisation dans les 25 villages et 19 écoles.
. Les droits fondamentaux de l’homme
. Décrochage scolaire de la jeune fille : Que faire ?
. Quelle jeune fille pour quel développement de l’Afrique noire subsaharienne au 21ème siècles ?
. Fistules et grossesse / mariage précoce
. les recettes de la réussite scolaire égalitaire
. les Droits successoraux
- Organisation des Journées Mondiales/Africaines de la femme
- Accompagnement psychosocial de la jeune fille
- Assistance / aide / consultation juridique.
-Sensibilisation à la Non-violence Active et à la Paix.
DESCRIPTION SYNOPTIQUE DES ACTIVITES PRINCIPALES DU CRAPEF
Sensibilisation / Animation, création d’un club de jeunes filles au collège NDA, conférences, journées de la femme / jeune fille ; protection jeune fille / femme
BENEFICIAIRES DES ACTIONS du CRAPEF
Le CRAPEF assiste les types de femme suivants :
- Les jeunes filles âgées de 10 à 22 ans issues des familles ménages où règnent l’esprit de discrimination sexuelle, où leur statut rime avec la procréation et les travaux domestiques ; Des ménages où l’épanouissement de la jeune fille est étouffée par le manque ou le refus de soutien scolaire le décrochage, l’exode et le mariage précoce ou forcé.
- Les femmes mariées ou non, victimes de la discrimination sexuelle traditionnelle, infantilisées, précarisées, irresponsables, paupérisées, méconnaissant leurs droits et libertés et incapables d’œuvrer contre l’autoritarisme de la société des hommes, la fragilité et l’inaction par la recherche concertée et la mise en pratique.
D’alternatives d’auto- promotion appropriées par lesquelles elles pourront prendre plus d’initiatives et de responsabilités dans la définition et la mise en œuvre d’action d’émancipation / émergence réductrice de leur pauvreté et crucifixion actuelle.
- Les femmes et jeunes filles violentées
- Les veuves et le problème des droits successoraux
- Le problème de réinsertion des jeunes filles revenues d’exode
- Le maintien des jeunes fille à l’école
- Jeunes filles victimes de mariage forcé / précoce
- Jeunes filles en apprentissage ou en mise en relation d’apprentissage.
Sensibilisation sur les Droits et Libertés au sein de la Commission diocésaine "JUSTICE ET PAIX", du Groupe Jean GOSS et du MIR TOGO naissant.
ET QUOI ENCORE!!!
